Mon Culicidae

21 mai 2009 Comments Off

Elle a laissé son dard et ses grandes ailes roses
Reste un corps nu au lit enchâssé de percale
Tu sais,
c''est une histoire sans fin de faux bijoux, fausses propriétés,

Nous étions des insectes avides dans ce clos noir sans nous
Nos longues pattes étranges tremblant autours des trous

Ce soir les moustiques mangent dans cette nuit Solaire
Un paludisme chante
Que ne reste la moelle
Mon cœur le plus charnu
Je te rêve à vide j'embrasse je ne mords plus
Solide Solitude

What's this?

You are currently reading Mon Culicidae at Vie secrète.

meta

Comments are closed.